Ma vie ressemble aujourd'hui a peu de choses.
Vous savez le plaisir de l'écrit est là, quelques petits mots et tout est dit...ou presque.
Je suis triste et je constate. Je pensais y arriver: faire le bien, rendre heureux...Non/pas possible/incapable.
En fait, je me sens syllabique. Particule, petit, illissible.
Difficile/à expliquer. Les poètes québécois des années 1980 ont bien exprimé cet état. Le peu/pour le vrai.
Le regard/sur les vagues
Dans les replis de mon âme
Sans aucune/retenue
Je sombre/et je m'enfonce
Je cherche/dans mes repères
Les restes?/le beau
Mon impuissance/ma détresse
Ma forteresse/ma faiblesse
Oui je prie/aux enfers
poid/souffrance
L'épée/détresse
Qui en moi/relance
Dans le vent/le tonnerre
Sous la pluie/les éclairs
Les journées m'appellent
Adieu/décennie glorieuse
Je cède.../seul
Où est l'espoir?/je m'essouffle
Et mon souffle m'essoufle
dimanche, février 15, 2009
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